Je suis pour le soleil couchant En haut des collines desertes. Je suis pour les forets profondes, Car un enfant qui pleure, Qu'il soit de n'importe ou
La nuit qui me ramene enfin Enfin le sommeil Le reve et ses merveilles Ou de grands oiseaux blancs Tournoient lentement O regardez il neige De grands
Les raisons de mon silence Sont Raison d'amour, Raison chagrin, Besoin de toi, Etat de manque, Sont les raisons de ma deraison. La nuit est longue, La
cantate Que nous jouions autrefois Seule, je la joue, maladroite Si, mi, la, re, sol, do, fa Cette petite cantate Fa, sol, do, fa N'etait pas si maladroite
Ou ils reviennent chaque annee, De banc de bois en banc de pierre Et jusqu'a la derniere allee, On les voit d'escale en escale Qui n'en peuvent plus d
De quelle nouvelle Babylone, Viennent ces belles amazones Avec leurs franges sur le front. Sont-ce des anges ou des demons ? Qui sont-ils ou qui sont
Si s'Aimer d'Amour, C'est mourir d'Aimer, Sont mourus d'Amour, Sida Sidannes, Les Damnes d'Amour, A mourir d'Aimer, Ils sont morts d'Amour, D'Amour Sidanne
Y a un arbre, je m'y colle, Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole
Tire-pas, tire-pas. La vie c'est pas cinema. Joue-pas, pose ca. On perd sa vie a ces jeux la. Tire-pas. Ce n's'ra pas Cine-cinema. C'est suffisant qu
que j'ai tant aime ? O memoire, Tu me reviens. Tout me revient. Ecrire mes memoires Avec de l'encre noire Sur un papier lilas Que je n'enverrai pas,
En ces fievres, en ces lieux, en ces epoques-la, Et moi, pauvre vestale, au vent de vos envies, Au c?ur de vos dedales, je n'etais qu'Ophelie, Je me
une rose Et tant mieux s'il y en a Qui, les yeux pleins de lumiere Ont prefere les combats Pour aller se faire lanlaire Au jardin du bon Dieu Ca n'a
Il venait, je ne sais, D'ici, la-bas, de n'importe ou, de nulle part, Et d'ailleurs, on s'en fout, Nous, on l'avait appele l'homme en habit rouge, De
n'etais pas ton c?ur et c'etait une erreur Mais, je n'ai pas raccroche Et tu n'as pas raccroche Et si je n'ai jamais su qui tu cherchais, J'ai tout de
la salle des ventes Bourdonnait une foule, fievreuse et impatiente Ceux qui, pour quelques sous, rachetent pour les vendre Les tresors fabuleux d'un passe qui n