Barbara Ann Bah bah bah bah Barbara Ann Bah bah bah bah Barbara Ann (Barbara Ann) Bah bah bah bah Barbara Ann (Take my hand) Bah bah bah bah Barbara Ann (Barbara
Ils marchent le regard fier, Mes hommes, Moi devant, et eux derriere, Mes hommes Et si j'allonge le pas, Ils me suivent pas a pas. Je leur echappe pas
Un beau jour, ou peut-etre une nuit, Pres d'un lac je m'etais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle
Il pleut, Il pleut, Sur les jardins alanguis, Sur les roses de la nuit, Il pleut des larmes de pluie, Il pleut, Et j'entends le clapotis, Du bassin qui
Si la photo est bonne, Juste en deuxieme colonne, Y a le voyou du jour, Qui a une petite gueule d'amour, Dans la rubrique du vice, Y a l'assassin de
Bien sur, ce n'est pas la Seine, Ce n'est pas le bois de Vincennes, Mais c'est bien joli tout de meme, A Gottingen, a Gottingen. Pas de quais et pas
A mourir pour mourir Je choisis l'age tendre Et partir pour partir Je ne veux pas attendre Je ne veux pas attendre J'aime mieux m'en aller Du temps
J'ai eu tort, je suis revenue dans cette ville loin perdue ou j'avais passe mon enfance. J'ai eu tort, j'ai voulu revoir le coteau ou glissaient le soir
Y a un arbre, je m'y colle, Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, a toi maintenant, Y a un arbre, pigeon vole
Pour une longue dame brune, j'ai invente Une chanson au clair de la lune, quelques couplets. Si jamais elle l'entend un jour, elle saura Que c'est une
et je me suis enfuie, Sous des ciels plus legers, pays de paradis, Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir, Des mers en furie, des musiques barbares
A voir tant de gens qui dorment et s'endorment a la nuit, Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi. A voir tant d'yeux qui se ferment, couches
Il pleut sur Nantes Donne-moi la main Le ciel de Nantes Rend mon c?ur chagrin Un matin comme celui-la Il y a juste un an deja La ville avait ce teint
Une petite cantate Du bout des doigts Obsedante et maladroite Monte vers toi Une petite cantate Que nous jouions autrefois Seule, je la joue, maladroite
Sur le grand bassin du chateau de l'idole, Un grand cygne noir portant rubis au col, Dessinait sur l'eau de folles arabesques, Les gargouilles pleuraient
Ca ne previent pas quand ca arrive Ca vient de loin Ca c'est promene de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au reveil C'est presque rien
Du plus loin, que me revienne, L'ombre de mes amours anciennes, Du plus loin, du premier rendez-vous, Du temps des premieres peines, Lors, j'avais quinze
Tu ne te souviendras pas De cette nuit ou l'on s'aimait, Toutes les nuits, cahin-caha, S'effeuillent au calendrier. Tu ne te souviendras pas De mon