sous la pierre, tout nu, sans une priere, notre amour mort a la guerre. Ah! fallait, fallait pas la faire! Ci-git, apres tant d'arome et la moitie d'un
tes yeux que j'aime.", Toutes ces fiancees Dont l'attente fut vaine, Ces hommes arraches A leur noce prochaine, Sourient a regarder Ceux que l'amour amene Sur l
cette nuit ou l'on s'aimait, Toutes les nuits, cahin-caha, S'effeuillent au calendrier. Tu ne te souviendras pas De mon visage, de mon nom. Les marionnettes d
le dernier voyage, Pour nos c?urs dechires, c'est le dernier naufrage, Au printemps, tu verras, je serai de retour, Le printemps, c'est joli pour se parler d
de mieux pouvoir nous embrasser En allant tous les deux au bois. Il y avait des larmes de rosee Sur les fleurs des jardins. Oh, que j'aime l'odeur du
revienne, Qu'au matin je puisse sourire, Que le vent ait seche ma peine Et la nuit calme mon delire. Il est, parait-il, un rivage Ou l'on guerit du mal d
de lui. On dira qu'il semblait sorti D'un conte des mille et une nuits Ou d'une prison. On l'a pris pour un fils d'un roi. On l'a pris pour un je ne
. On en sourit du coin de l'?il Mais on en reve, du grand amour. Je l'ai connu, j'en porte le deuil. Ca ne peut durer toujours. Je l'ai valse au grand
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup Faites vite, il y a peu d'espoir Il a demande a vous voir." A l'heure de sa derniere heure Apres bien des annees d
Je repense au retour dans quelques jours c'est long C'est pour toi ma jolie que je suis sorti vainqueur De ces iles perdues ou l'on tue ou l'on meurt
, L'eclat de ses vingt ans ? Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux a la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-la ? Est-ce l'un, est-ce l