Ils etaient cinq. C'etaient des hommes. Tous les cinq sentaient le tabac, Meme celui qui ne fumait pas. Le premier a bien tente De me dire d'ou il venait
Je serai douce, si douce Quand tu me diras de l'etre. Je serai obeissante Quand tes mains caresseront Mes mains, mes cheveux, mes levres. Oui, je serai
Pour toi soudain le gris du ciel n'est plus si gris, pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd. Voila que sans savoir pourquoi soudain
ou. La nuit, tu dors. Le jour, tu veilles Et les jours vont Et les nuits viennent. Combien de jours, combien de nuits As-tu dormi seule dans ton lit ? J'etais Madame
ma femme tu t'y prends bien mieux. " - Ah ! Monsieur, ", repond la petite bonne, " Ce que vous m'dites n'a rien qui m'etonne, Que je m'y prends mieux que Madame
Elle etait patissiere, Dans la rue du Croissant, Ses gentilles petites manieres, Attiraient les clients, On aimait a l'extreme, Ses yeux de puits d'amour
m'a dit "petite, il faut qu'on se marie Tu seras la fleur d'un joli bistrot De tels boniments demolissent une femme Je vivais deja derriere mon comptoir Les flics de couleur me disaient "Madame
Regardez Les regards des hommes, Regardez, Quand leurs yeux se posent Sur vous, Des yeux Qui vous deshabillent, Leurs yeux vous voient Et ils vous croient
On s'est rencontre par hasard, Ici, ailleurs ou autre part. Il se peut que tu t'en souviennes. Sans se connaitre, on s'est aime. Meme si ce n'est pas
Nous avons eu mam'zelle Pompon, Nous avons eu la gross Charlotte, Ninie de Vannes et la Zonzon Qui arrosait chaque soir sa motte Au cognac et au marsala