: Moi, je suis l'homme Et toi, tu es la musique, Et je t'aime eperdument, Je t'aime depuis tout le temps. Moi, je suis pauvre Et toi, tu es magnifique
: Jamais on n'a approche d'aussi pres les etoiles Qu'en batissant un jour La premiere cathedrale Alleluia... Jean le tailleur de pierre Est venu a pied
: A l'escalier 6, bloc 21, J'habite un tres chouette appartement Que mon pere, si tout marche bien, Aura paye en moins de vingt ans. On a le confort
: Dans ses yeux il avait Des jardins et des chateaux De son coeur jaillissaient Des princesses et des jets d'eau Des enfants qui riaient Et qui faisaient
: Quand on est seul sur son etoile Et qu'on regarde passer les trains Quand on trinque avec des minables Qu'on dort avec des "moins que rien" Quand on
se sont installes Et ont change jusqu'aux noms des hommes C'est ainsi que dans notre petit village Nous avons eu George Washington, aigle noir Franklin
: Toi qui es seul et qui reclames un peu d'amour et d'amitie un peu de chaleur pour ton ame Pour toi tout seul je veux chanter Le transistor sera complice
: Et maintenant que vais-je faire De tout ce temps que sera ma vie De tous ces gens qui m'indifferent Maintenant que tu es partie Toutes ces nuits,
: Qu'elle est lourde a porter l'absence de l'ami, L'ami qui tous les soirs venait a cette table Et qui ne viendra plus, la mort est miserable, Qui poignarde
: La solitude ca n'existe pas La solitude ca n'existe pas La solitude ca n'existe pas La solitude ca n'existe pas Chez moi il n'y a plus que moi Et
: Quand Jules est au violon Et Leon a l'accordeon Faudrait avoir deux jambes de bois Pour ne pas danser la polka La fille a Mathurin Je peux te dire
: Le Ciel, le Ciel C'est comme un grand manteau bleu Accroche sur les epaules de la nuit Mais comme il n'est pas tout neuf Il y a plein de trous
Jamais on n'a approche d'aussi pres les etoiles Qu'en batissant un jour La premiere cathedrale Alleluia... Jean le tailleur de pierre Est venu a pied
Le Ciel, le Ciel C'est comme un grand manteau bleu Accroche sur les epaules de la nuit Mais comme il n'est pas tout neuf Il y a plein de trous dedans
Dans ses yeux il avait Des jardins et des chateaux De son coeur jaillissaient Des princesses et des jets d'eau Des enfants qui riaient Et qui faisaient
Qu'elle est lourde a porter l'absence de l'ami, L'ami qui tous les soirs venait a cette table Et qui ne viendra plus, la mort est miserable, Qui poignarde
Quand Jules est au violon Et Leon a l'accordeon Faudrait avoir deux jambes de bois Pour ne pas danser la polka La fille a Mathurin Je peux te dire,