: Faire l'amour a une femme, d'un sourire Deshabiller son ame sans rien dire Deviner sur ses levres, un soupir Et prolonger dans ses reves, mon desir
: Elle: Deviner le jour qui se leve Sentir ton regard sur moi Toucher ton visage Respirer ta peau Et m'abandonner contre toi Lui: Dechiffrer tes yeux
: Humm, donner, donner des demain Donner, mille fois pour rien Donner, sans jamais reprendre Donner, du c?ur et des yeux Donner, oh, tout ce que l'on
: Tu n'emportes rien, c'est vrai! Tu ne me dois rien, ok! Tu emportes tout avec toi Puisque tu etais pour moi Tu me dis qu'un jour ou l'autre J'en trouverai
: Je prefere l'attendre Commencez sans moi Je serai plus tranquille Quand elle sera la Je ne serai pas le meme Si elle ne vient pas Allez, commencez
: J'aime le gout sale de ta peau Quand ton corps tout bronze sort de l'eau Et ce parfum leger qui me rend fou J'aime tes yeux etranges qui sourient Quand
: Elle etait belle et lumineuse Et elle ne savait pas mentir Nous vivions si bien dans la Creuse Elle aimait tout ce que j'aimais Elle aimait rire Elle
: La pluie qui tombe depuis des heures jette un silence entre nous, Ce train qui d'eloigne bride mon c?ur Je suis jaloux de vous J'ai si mal, j'ai si
: L'ombre a envahi la chambre d'un bonheur silencieux et le soir vient nous surprendre, enlaces et heureux un neon par la fenetre, glisse un rayon sur
: Elle est l'eau claire des sources La lumiere qui va jaillir au matin Le temps sur son front a dessine des sillons Et j'ai peur pour elle Souvent je
: {Lui, Parle:} Il la regarde dormir Sans l'ombre d'un soupir Dans cet etrange voyage Depuis la nuit des temps Aime-moi, retiens-moi, a jamais, a mourir
: Sublimes divines troublantes charnelles Elles n'ont plus grand chose a cacher Sur les tresors qu'elles nous revelent Dans toute la presse specialisee
ces bimbos aux seins de marbre Qui vont faire entre deux boutiques Un peu de chirurgie esthetique {au Refrain} Ce sont les femmes de mon age Toutes mes chansons
: {Refrain:} Love toi tout contre moi Love me toute la nuit Un matin equateur Contre-jour et moiteur la chaleur Enroule dans les draps Je te murmure
: Ne pleure pas, ecoute-moi L'enfant que tu portes en toi est a nous deux Viens pres de moi, ne pouvait pas Esperer plus beau cadeau etre plus heureux
: Toi et moi nous n'existons pas Sans mon fax, sans ton repondeur Nos rendez-vous sont maladroits Souvent nos reves manquent de chaleur Pour sortir enfin
: J'pense qu'a ca, (mais tu penses a quoi?) J'pense qu'a ca en dormant Et j'y pense encore en me reveillant J'pense qu'a ca (Mais, dis-nous tout, va!)
: P'tite Nathalie, maintenant rentre chez toi P'tite Nathalie, embrasse-moi encore une fois La vie d'un pere n'est rien sans son enfant Maintenant j'