Sur la mer de la tranquillite Des traces de pas d'un homme qui a marche Ne croyez pas que tout aurait change Que sur la terre on aurait avance Non, non
Une etincelle Dans l'univers gris et pastel D'ou vient-elle Est-ce un melange artificiel Elle avance Blonde comme l'or noire comme l'ebene Comme une
Meme d'une region si lointaine Qu'il se peut Que jamais l'homme ne l'atteigne Meme de ces points infinis Lumineux On dit qu'un jour ils s'eteignent
Ces mots sur le cahier C'est sa maniere de parler Ce crayon sur le papier C'est sa maniere de l'aimer Dans sa lettre Elle a mis des "mon amour" partout
mystere On a besoin de regarder la Lune pour oublier la Terre. Laissez passer, Laissez passer les reves. Laissez passer, Laissez passer les reves. Stevenson, Jules Verne ou Georges
Dans le ciel de sa chambre Toutes ces images clouees Comme des portes sur des reves Pour pouvoir s'envoler Elle est partie Pour des hasards de changements
Ca commence un peu comme un rap Ca parle, ca parle et puis ca derape Ca danse dans la tete la nuit Quelle importance ou et quand ca frappe On ne se souvient
Dans les ruines des ambassades Traine le parfum amer et fade De la poudre qui parle pour rien Et des chagrins de Phnom Penh Dans les boutiques des chinois
On nous dit sage, on nous dit change, on nous dit bouge. Assez d'images, assez de rage, assez de rouge. Il faut vivre avec Les idees qu'on s'en fait.
Tu te reveilles Tu n'es sur de rien Tu n'es plus vraiment bien Comme dans ton sommeil Comme dans le brouillard Tu marches tout droit vers nulle part