La capitale Me fait du mal! Elle s?amuse a me voir souffrir... Elle m?emprisonne, Puis m?empoisonne... Me joue des tours pour qu?j?aie le spleen! Privee
De la glace empeche ton coeur D'inspirer le bonheur. Tu derive souffle par erreur Dans l'impasse de la peur. De l'amour, tu manques par defaut. Mais
Y a ceux qui se jettent a mes pieds Qui m'empechent de marcher. Comme ceux qui se disent mal aimes Que je n'ai pas console Et chaque jour c'est sans
Si tu as le mal de lui J'ai le mal de toi, dis-moi Gabriel Gabriel, s'attend A plus qu'un sentiment Qu'un plaisir brule sa peau, Les deux ailes en avant
Des que reviens le mauvais temps je repense a mes souffrances et me revois la enfant, recevant en silence les caresses d'un grand, les caresses d'un
Non je ne suis pas Comme... comme... comme toi ! Mais pas cette fois Comme... comme... comme toi ! Cracher des mots d'Amour Sur celui que l'on aime.
Mon sang le tiens... Manque a ce que je deviens, Quand le temps me retient, Je me souviens tres bien. Ma place mon exil, Ne me remplace pas, Pour un
les tourments, ni les regrets Soldats qu'en pensez-vous ? N'ecoutez pas la voix des fous Ni ceux qui vous laissent croire Qu'entre vos mains se fait
Tu as le droit d'allumer tous les regards D'embrasser le hasard, consume dans un couloir Et j'accepte l'aventure Qui te construit en rupture Mais Stella
Papa, maman Je vous deteste Vous avez agit Comme deux pestes Vous aurez pu vous retenir Pour m'eviter d'connaitre le pire Maman, papa Avez-vous hontes
Sans couleur, sans saveur Ces gens la, devant moi Pas d'echo dans mon coeur A part toi, rien que toi Je voudrais m'inventer des ailes Et toujours fuir
Il ne suffit pas Que l'on s'en sorte toi et moi Pour que s'efface ma douleur Le Monde est si mal ici bas Je veux l'Amour universel Le seul, le vrai,